C’était le 1° avril, et pourtant nous y avons cru !
Ils sont venus, ils sont bien là ! Sur la place
d’Éculieu ils se sont rassemblés. Les « habitués » pour la 3ème
édition et, les nouveaux partants qui ont entendu l’écho des premiers périples.
Annie et Gilbert fourbissent leurs appareils photos. Neuf heures précises, la
petite troupe d’habitants du hameau, composée de vingt personnes, des grands
parents aux petits enfant, plus deux
chiens, s’ébranle.
Le groupe « débaroule » vers la rivière, les
premières discussions commencent. La route, définie à l’avance pour 11 km, offre
la possibilité de trois circuits plus ou moins longs.
Première traversée du Pinchigneux sur le petit pont, on remonte en face à flanc de colline. Enjambé l’escabeau de bois, l’on entend moins les langues, mais plus fortes les respirations, il faut ralentir la cadence et se regrouper. Aux Bruneaux les marcheurs obliquent en direction du soleil levant. L’on contourne le Montventose, la file s’étire, à l’avant les sportifs, à l’arrière les bavardes ! Arrivé au Chapoulet, c’est là que l’on pourrait rentrer au plus court sur Éculieu, en coupant via la Gilière et Les quatre chemins par la route goudronnée. Mais point d’abandon, tous repartent gaiement, les conversations ne sont pas terminées ! Arrivés à la patte d’oie de « la cote altitude 570 » deuxième choix, qui veut prendre au nord, sauter le Pinchigneux, remonter aux Asthiers et rejoindre Éculieu en arrivant plus tôt ? Personne, pas d’hésitation, le groupe ne se disloque pas ; On rappelle Patrick et Richard, les deuxétourdis pipelets
qui se sont élancés vers le plus court chemin, l’ambiance est à la rigolade !
C’est reparti, on grimpe vers la Thérie. Depuis quelques jours, les pompiers
sont en manœuvre dans le secteur, on les observe de loin, puis on les croise,
juchés sur leurs énormes camions, arpentant comme nous les chemins de terre. Juste
en aval de la Guithardière, l’on franchit dans l’autre sens le Pinchigneux, bien
maigre à cette altitude, nous revoilà « rive droite ». Nous saurons
tout… les parents de Marcel sont originaire des environs !
Première traversée du Pinchigneux sur le petit pont, on remonte en face à flanc de colline. Enjambé l’escabeau de bois, l’on entend moins les langues, mais plus fortes les respirations, il faut ralentir la cadence et se regrouper. Aux Bruneaux les marcheurs obliquent en direction du soleil levant. L’on contourne le Montventose, la file s’étire, à l’avant les sportifs, à l’arrière les bavardes ! Arrivé au Chapoulet, c’est là que l’on pourrait rentrer au plus court sur Éculieu, en coupant via la Gilière et Les quatre chemins par la route goudronnée. Mais point d’abandon, tous repartent gaiement, les conversations ne sont pas terminées ! Arrivés à la patte d’oie de « la cote altitude 570 » deuxième choix, qui veut prendre au nord, sauter le Pinchigneux, remonter aux Asthiers et rejoindre Éculieu en arrivant plus tôt ? Personne, pas d’hésitation, le groupe ne se disloque pas ; On rappelle Patrick et Richard, les deux
Le point de « non-retour » est passé, direction Éculieu
par le Coin et Villemagne. Solal a mal au pieds, pas de problème, Henry a tout
prévu qui tire de son sac une seconde paire de chaussures. Quelques dames ont
pris la tête du convoi et donnent le rythme, à l’arrière on admire les sites
traversés, on photographie le pigeonnier, et l’on écoute le cours d’histoire
dispensé par Guy.
La descente continue. Nous assistons à une petite
démonstration de dressage de chiens en sortant du bois. Puis pour ceux qui
passent devant leur maison, la bande se sépare peu à peu de ses membres au fil
du chemin. Voilà les derniers de retour sur la place, l’heure du déjeuner
approche. Dommage, le ciel était un peu voilé, mais quelle chaleur dans les cœurs !
Une question est posée : quel itinéraire le 06 mai,
date du prochain périple ? Nous verrons bien ! Mais une chose est sûre,
le rendez-vous est noté… vers la croix, départ à 9 heures précises !
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