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Nos limites (ou no limit ?)

lundi 30 avril 2012

Après la tempête


Branches cassées, feuilles arrachées, pots de fleurs emportés, containers renversés, fauteuils de jardin envolés, un vent de tempête a soufflé sur Eculieu pendant la nuit de samedi à dimanche ! Et le vieux pommier qui donnait des pommes si savoureuses, le très vieux pommier n’a pas résisté…

vendredi 27 avril 2012

Le 4° « Périple Éculierein » ou les élections présidentielles ?


Photo du Net

Le prochain « Périple Éculierein » est prévu le premier dimanche du moi... de mai…

En même temps que le second tour des élections présidentielles, le 6 mai.
Afin de ne pas pénaliser les marcheurs du hameau, l’idée suivante vous est proposée : «  Joindre l’utile à l’agréable ! »


http://www.p-a-th.fr "Marianne"

Le parcours du 4éme périple nous amènera à pied jusqu’aux bureaux de vote ; Là nous ferons une halte pour attendre ceux qui voudrons profiter de notre passage pour aller exprimer leur suffrage. Puis retour en élargissant la boucle, le parcours de 7 km environ, se fera entièrement sur des chemins très carrossables. 

(plusieurs opportunités de "couper" plus court seront possibles au fil du parcours)

Cette balade est volontairement moins longue et plus citadine que les trois premières éditions, de façon à ne pas bloquer trop longtemps les habitants d’Éculieu qui souhaitent se rendre aux urnes à un autre moment de la journée.
Alors, n’oubliez pas, rendez-vous à 9 heures sur la place… En célibataire, en couple ou en famille, venez nombreux… Avec votre carte d’électeur et une pièce d’identité, obligatoire pour voter !

mardi 24 avril 2012

Un pis rebondi

Vous rappelez-vous le bon lait bourru de votre enfance ? Cette splendide vache laitière qui a mis  bas récemment arbore un pis impressionnant ! Il contient une quarantaine de litres de lait, de quoi sustanter une famille nombreuse pendant plusieurs jours ! On la trait deux fois par jour ; quant au veau, sa ration est de deux litres le matin et deux litres le soir.

vendredi 20 avril 2012

Là-haut

Ce monte-charge supporte
 150kg de marchandises
Pendant plus d’un mois, notre hameau a compté deux habitants supplémentaires. Matthieu et Maxime (remplacé ensuite par Sébastien) ont vécu  toutes leurs journées sur un toit, place d’Eculieu. Sur un toit ! Drôle d’endroit, me direz-vous ! Pour eux, cela n’a rien d’inhabituel. Couvreurs de profession, totalement insensibles au vertige, ils sont accoutumés à voir les choses d’un peu plus haut que le commun des mortels. Là-haut, leur ai-je demandé, le ciel est-il plus bleu, les nuages plus beaux, et l’horizon plus lointain ? Ils n’ont pas vraiment répondu à cette question, mais m’ont dit aimer le sentiment de liberté que leur procure leur travail, et ils ont particulièrement apprécié la tranquillité et les paysages d’Eculieu. J’aurais bien voulu, moi aussi, monter là-haut, et prendre quelques photos, mais au dernier moment, j’ai jugé qu’il était plus prudent de rester sur la terre ferme !
Matthieu et Sébastien, deux grimpeurs intrépides

samedi 14 avril 2012

« Les collines du Pinchigneux » ou le 3ème périple Éculierein

C’était le 1° avril, et pourtant nous y avons cru !
Ils sont venus, ils sont bien là ! Sur la place d’Éculieu ils se sont rassemblés. Les « habitués » pour la 3ème édition et, les nouveaux partants qui ont entendu l’écho des premiers périples. Annie et Gilbert fourbissent leurs appareils photos. Neuf heures précises, la petite troupe d’habitants du hameau, composée de vingt personnes, des grands parents aux petits enfant,  plus deux chiens, s’ébranle.

Le groupe « débaroule » vers la rivière, les premières discussions commencent. La route, définie à l’avance pour 11 km, offre la possibilité de trois circuits plus ou moins longs.
Première traversée du Pinchigneux sur le petit pont, on remonte en face à flanc de colline. Enjambé l’escabeau de bois, l’on entend moins les langues, mais plus fortes les respirations, il faut ralentir la cadence et se regrouper. Aux Bruneaux les marcheurs obliquent en direction du soleil levant. L’on contourne le Montventose, la file s’étire, à l’avant les sportifs, à l’arrière les bavardes ! Arrivé au Chapoulet, c’est là que l’on pourrait rentrer au plus court sur Éculieu, en coupant via la Gilière et Les quatre chemins par la route goudronnée. Mais point d’abandon, tous repartent gaiement, les conversations ne sont pas terminées ! Arrivés à la patte d’oie de « la cote altitude 570 » deuxième choix, qui veut prendre au nord, sauter le Pinchigneux,  remonter aux Asthiers et rejoindre Éculieu en arrivant plus tôt ? Personne, pas d’hésitation, le groupe ne se disloque pas ; On rappelle Patrick et Richard, les deux étourdis pipelets qui se sont élancés vers le plus court chemin, l’ambiance est à la rigolade ! C’est reparti, on grimpe vers la Thérie. Depuis quelques jours, les pompiers sont en manœuvre dans le secteur, on les observe de loin, puis on les croise, juchés sur leurs énormes camions, arpentant comme nous les chemins de terre. Juste en aval de la Guithardière, l’on franchit dans l’autre sens le Pinchigneux, bien maigre à cette altitude, nous revoilà « rive droite ». Nous saurons tout… les parents de Marcel sont originaire des environs !
Le point de « non-retour » est passé, direction Éculieu par le Coin et Villemagne. Solal a mal au pieds, pas de problème, Henry a tout prévu qui tire de son sac une seconde paire de chaussures. Quelques dames ont pris la tête du convoi et donnent le rythme, à l’arrière on admire les sites traversés, on photographie le pigeonnier, et l’on écoute le cours d’histoire dispensé par Guy.
La descente continue. Nous assistons à une petite démonstration de dressage de chiens en sortant du bois. Puis pour ceux qui passent devant leur maison, la bande se sépare peu à peu de ses membres au fil du chemin. Voilà les derniers de retour sur la place, l’heure du déjeuner approche. Dommage, le ciel était un peu voilé, mais quelle chaleur dans les cœurs !


Une question est posée : quel itinéraire le 06 mai, date du prochain périple ? Nous verrons bien ! Mais une chose est sûre, le rendez-vous est noté… vers la croix, départ à 9 heures précises !

vendredi 13 avril 2012

Prunelliers en fleur


Dans la région stéphanoise, les fruits du prunellier sont les pialousses ou les plosses ; ailleurs, ce sont simplement les prunelles. J’ignore s’il existe un terme éculièrain pour désigner ces petits fruits noirs qui laissent un goût âpre dans la bouche, mais qui révèlent une autre saveur en confiture ou en liqueur. En attendant les premières pialousses qui n’apparaîtront pas avant cet automne, admirons à loisir les fleurs blanches des prunelliers qui parsèment la campagne alentour. Ces buissons épineux, encore dépourvus de feuilles, font oublier leur aspect ingrat grâce à leur floraison abondante dont le blanc délicat se détache sur le vert tendre de l’herbe nouvelle. Tout comme les jonquilles dans nos jardins, ils symbolisent le retour du printemps !

En savoir plus sur le prunellier :

lundi 9 avril 2012

L'énigme du printemps


   A  Eculieu, il était, autrefois, il n’y a pas si longtemps de ça, une vieille croix en bois.
Aujourd’hui disparue, vous l’avez certainement aperçue
au cours de vos déplacements dans le hameau.
 Vous rappelez-vous où cette croix était située ?


Merci à Marc de nous avoir transmis  cette énigme et la photo qui l'accompagne.


voir ou revoir en cliquant sur le titre:

vendredi 6 avril 2012

mercredi 4 avril 2012

Coucou !

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler du coucou ! Oui, mais lequel, tant ce mot peut désigner des choses diverses ! Il y a d’abord l’interjection destinée à signaler sa présence, ou saluer l’arrivée de quelqu’un ; il y a le signe du jeune enfant qui s’amuse à répondre au coucou des adultes. Il y a l’avion vétuste dans lequel on n’aimerait pas trop prendre place ; il y a l’horloge à poids munie d’un mécanisme imitant le chant du coucou. Il y a donc ce fameux oiseau à dos gris et au ventre rayé de brun, rarement aperçu, annonciateur du printemps, qui pond ses œufs dans le nid des autres afin qu’ils élèvent sa progéniture, et qui est censé nous apporter la richesse si on a sur soi quelque chose en or quand on entend son chant pour la première fois.


Et puis il y a la plante à fleurs jaunes qui pousse sur le bord des talus, et dont le nom savant est primevère officinale, primevère car c’est l’une des premières fleurs printanières. (du latin primo vere, début du printemps) Peu de gens savent qu’il s’agit d’une plante comestible : les très jeunes fleurs peuvent décorer gâteaux et salades de fruits, et les très jeunes feuilles peuvent s’utiliser dans une soupe ou une salade. Et avez-vous déjà essayé l’infusion délicatement parfumée de fleurs de coucou ? Du véritable concentré de printemps dans votre tasse !