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Nos limites (ou no limit ?)

mercredi 4 avril 2012

Coucou !

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler du coucou ! Oui, mais lequel, tant ce mot peut désigner des choses diverses ! Il y a d’abord l’interjection destinée à signaler sa présence, ou saluer l’arrivée de quelqu’un ; il y a le signe du jeune enfant qui s’amuse à répondre au coucou des adultes. Il y a l’avion vétuste dans lequel on n’aimerait pas trop prendre place ; il y a l’horloge à poids munie d’un mécanisme imitant le chant du coucou. Il y a donc ce fameux oiseau à dos gris et au ventre rayé de brun, rarement aperçu, annonciateur du printemps, qui pond ses œufs dans le nid des autres afin qu’ils élèvent sa progéniture, et qui est censé nous apporter la richesse si on a sur soi quelque chose en or quand on entend son chant pour la première fois.


Et puis il y a la plante à fleurs jaunes qui pousse sur le bord des talus, et dont le nom savant est primevère officinale, primevère car c’est l’une des premières fleurs printanières. (du latin primo vere, début du printemps) Peu de gens savent qu’il s’agit d’une plante comestible : les très jeunes fleurs peuvent décorer gâteaux et salades de fruits, et les très jeunes feuilles peuvent s’utiliser dans une soupe ou une salade. Et avez-vous déjà essayé l’infusion délicatement parfumée de fleurs de coucou ? Du véritable concentré de printemps dans votre tasse !

1 commentaires:

Anonyme a dit…

Madame Annie, vous avez oublié la célèbre chanson populaire :

« Courtt le COUCOU » !
Court le coucou, le coucou fastoche,
Court le coucou, le coucou fastoche,
Court le coucou, le coucou fastoche,
Le coucou qui coud tout, à qui c’est qu’il coud tout ?
Atchoum !

À écouter sur Youtube : http://youtu.be/0mv7ljo9x0g