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Nos limites (ou no limit ?)

lundi 24 janvier 2011

Faites des économies sur votre plein de carburant auto...

Depuis quelques mois déjà, un site internet entièrement gratuit, a pour vocation de présenter en temps réel les tarifs pratiqués par les différentes pompes à essence partout en France.

L'objectif est de donner aux automobilistes un moyen de comparer les prix dans sa ville ou son département afin d'aller faire son plein là où les tarifs sont les plus bas.
Le site est entièrement communautaire, c'est à dire que ce sont les utilisateurs eux-mêmes qui notent et renseignent les tarifs des stations service pour en faire profiter la communauté toute entière des automobilistes. 
Des milliers de prix sont déjà renseignés chaque jour sur le site qui recense les 14.000 stations-service françaises. Pour le fun nous affichons aussi le cours du pétrole !
Pour faire des économies, vous pouvez utiliser le gadget
"PRIX DES CARBURANTS"
situé dans la colonne de gauche...
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Source : ZAGAZ.COM

lundi 17 janvier 2011

TRI SELECTIF ET ORDURES MÉNAGÈRES

 Ce qui change : 
  • LES ORDURES MÉNAGÈRES (ANCIENNES POUBELLES) SERONT RAMASSÉES :
LE MARDI MATIN DANS LE HAMEAU (calendrier = "clic")
  • LES DÉCHETS DU TRI SELECTIF (POUBELLES JAUNES) SERONT RAMASSES :
LE VENDREDI "APRÈM" TOUS LES 15 JOURS (calendrier = "clic")
  • LES DÉCHETS DE SOINS MÉDICAUX :
Un dispositif GRATUIT de collecte a été mis en place. Il est réservé aux patients en auto traitement. Il est pris en charge par la commune de la Fouillouse et mis à votre disposition dans les deux pharmacies de la Commune. Pour tout renseignement complémentaire vous pouvez téléphoner à la Mairie au 04.77.30.10.34  / Contact: jjust@lafouiilouse.fr

Quels déchets sont concernés ?
°Objets piquants, coupants, tranchants (Aiguilles, seringues à insuline, lames, lancettes…)
°Tout objet en contact avec du sang


 Ce qui ne change pas : 
  • LE VERRE EST TOUJOURS COLLECTÉ AUX POINTS D'APPORT VOLONTAIRE.
 Pour plus d'explications : 

jeudi 6 janvier 2011

AVIS DE RECHERCHE (clic sur l'image pour voir l'annonce de la poule perdue à Eculieu)



 La petite poule qui voulait voir la mer 
 Christian Jolibois &  Christian Heinrich     (conte pour enfants en librairie) .


Au poulailler, c’est l’heure de la ponte !
Sous le regard attendri de leur maman, les petites poules s’appliquent et se donnent beaucoup de mal. Seule Carméla refuse de faire son œuf.
- Pondre, pondre, toujours pondre ! proteste-t-elle, il y a des choses plus intéressantes à faire, dans la vie !
Carmela préfère écouter Pédro le cormoran lui parler de la mer. Pédro a beaucoup voyagé ! Et même s’il est un peu menteur, la petite poule adore les histoires merveilleuses qu’il raconte.
« Un jour, moi aussi, j’irai voir la mer », se dit la petite poule.

Un soir, au moment de regagner le poulailler pour aller dormir, Carméla se révolte :
- Je refuse d’aller me coucher comme les poules ! MOI, JE VEUX ALLER VOIR LA MER !
- Aller voir la mer ? Et pourquoi pas voyager pendant que tu y es !
Le père de Carméla n’a jamais entendu quelque chose d’aussi stupide.
- Est-ce que je voyage, moi ? Apprends, Carmela, que la mer n’est pas un endroit convenable pour une poulette ! Allez, au nid !

Cette nuit-là, Carméla ne parvient pas à trouver le sommeil. Soudain, n’y tenant plus, elle se lève.
- C’est décidé, je pars ! Je pars voir la mer !
Carméla regarde une dernière fois son papa, sa maman, ses frères, ses sœurs, ses cousins, ses cousines et quitte le poulailler sans bruit.


Courageusement, Carméla s’enfonce dans la nuit…
Elle marche longtemps, si longtemps que bientôt elle ne sent plus ses pauvres petites pattes.
Mais, au matin, ses efforts sont récompensés. Arrivée au sommet d’une dune, elle aperçoit enfin… … LA MER !
Carméla est éblouie par le spectacle merveilleux qui s’offre à ses yeux.
- Comme c’est beau ! s’écrie la petite poule. Encore plus beau que ce que m’a raconté Pédro !

Impressionnée par les immenses vagues, Carméla hésite à entrer dans l’eau. Elle commence par faire des châteaux de sable, ramasse des coquillages, déguste des crevettes.
Puis elle se jette à la mer.
Elle boit la tasse – glup ! glup ! – tousse, crache, fait la planche, nage, plonge, glisse et fait même pipi dans l’eau…Et elle rit, elle rit…

Le jour commence à baisser et Carméla songe à rentrer au poulailler. Mais, horreur ! La côte a disparu ! Impossible de retrouver la terre ferme.
- Papa ! Maman ! hurle la petite poule. Personne ne répond.
Écrasée de fatigue, Carméla s’endort, perdue dans l’immensité de l’océan.

Soudain, Carméla est tiré de son sommeil par des cris perçants : « Poule ! Poule à la mer ! »
Trois formidables navires viennent de surgir. Trois belles caravelles. C’est le grand Christophe Colomb en personne qui fait route vers le nouveau monde.
Tout à coup, une vague énorme projette Carméla sur le pont de la Santa Maria.
 - Plumez cette volaille et faites-la cuire !  ordonne le capitaine.
Carméla refuse d’être mangée !
Elle raconte alors son incroyable voyage pour impressionner Christophe Colomb.

- Ça suffit ! s’emporte Christophe Colomb. À la casserole !
- Attendez, capitaine, s’écrie Carméla. UN ŒUF ! Je promets de pondre un œuf frais chaque matin, pour votre petit déjeuner. Ce sera l’œuf de Christophe Colomb.
Elle se mord aussitôt la langue !
- Pondre un œuf ? Aïe, aïe, aïe ! Jamais je n’ai fait ça ! Et maman qui n’est pas là pour me montrer comment on fait !

- Oh ! Ça ne doit pas être si compliqué ! Et elle se met à l’ouvrage.

- Ça y est ! J’ai réussi ! faciiiiiile ! J’ai pondu un œuf ! J’ai pondu un œuf !

À bord de la caravelle, les semaines passent. Un matin, alors qu’elle pond son trente et unième œuf, la petite poule aperçoit une plage et une immense forêt à l’horizon, Carméla vient de découvrir l’AMÉRIQUE !
- Vite, vite ! Trouver un bon coin où gratter ! Voilà des semaines que je rêve d’un bon ver de terre bien frais !
À l’ombre des grands arbres, un petit coq l’observe :
- Ça alors ! Une poulette toute blanche !
Carméla s’avance, un peu intimidée :
- Bonjour, je m’appelle Carméla…
- Moi, c’est Pitikok…
- Je viens d’un lointain poulailler, là-bas, de l’autre côté de la mer…
- Ouh, là, là, tu viens de loin !
- C’que tu es rouge, Pitikok…
- Et toi, c’que tu es belle, Carméla ! Viens, je vais te présenter à mes parents.

- Papa, maman ! Devinez qui vient dîner ?

Ce soir, en l’honneur de Carméla, c’est la fête au poulailler.
- Pitikok ? J’voudrais te demander… Pourquoi les poules de chez vous ont-elles le derrière tout nu ?
- C’est la coutume. Les Indiens utilisent nos plus jolies plumes pour se faire beaux ! Suis-moi dans ma cachette secrète, Carméla, on sera plus tranquilles !
- Chouette ! Dis ? Je peux reprendre de ces bonbons jaunes ?
- C’est pas des bonbons, c’est du maïs !
Pitikok veut tout savoir sur Carméla.
- Tu as des frères ? Des sœurs ? Comment est ta maison ?
Carméla lui parle de son vieux poulailler et de son grand ami, Pédro le Cormoran.
« Ce qu’elle est drôle », pense Pitikok. - Euh…Carméla…
- Oui, Pitikok…
- Si tu es d’accord, demain, je t’emmène visiter mon pays.

Et les voilà partis sous la conduite de Pitikok. Au fil des jours, ils découvrent qu’ils s’amusent des mêmes choses. Ils n’ont jamais été si heureux.
- Pitikok, t’entends le tambour des Indiens ?
- Non ! C’est mon cœur qui bat très fort car tu es près de moi…

Carméla et Pitikok sont de retour au poulailler des poules rouges. Ils ne se quittent plus.
- Hooouuu, les z’amoureux ! Hooouuu, les z’amoureux… !

Le temps passe vite. Christophe Colomb a fait hisser les voiles de son navire. Il est temps d’embarquer ! Pitikok aime tellement Carméla qu’il a décidé de partir avec elle. Il fait ses adieux à toute sa famille.
- Bouhouuu, pleurniche sa maman. On élève son bébé, et puis un jour il vous quitte.

Après plusieurs semaines, Pitikok et Carméla arrivent enfin devant le vieux poulailler.
- Hééé ! Regardez qui nous revient !
- C’est Carméla ! Carméla est de retour !
- Maman !
- Mon poussin ! Laisse-moi te regarder. Comme tu as grandi ! Tu es devenue une vraie dame.
- Et qui est ce jeune poulet si charmant ?
- Je m’appelle Pitikok, m’sieu.
- Bienvenue dans note poulailler, mon grand !

Au printemps suivant Carméla et Pitikok assistent, très émus, à la naissance de leur premier enfant, un mignon petit poussin qu’ils décident d’appeler Carmélito.

Quelques mois plus tard…
- Carmélito ? C’est l’heure de rentrer !
- Déjà ? Encore une petite minute, m’man, je regarde scintiller le ciel dans la nuit.
- C’est l’heure d’aller dormir !
- Dormir, dormir, toujours dormir ! Je refuse d’aller me coucher comme les poules, proteste Carmélito. Il y a des choses plus intéressantes à faire dans la vie…
MOI, JE VEUX ALLER DANS LES ÉTOILES !

mardi 4 janvier 2011

Un ciel pas ordinaire...

Automatic 5" 

Photos d' Éculieu 42480 prises avec un smartphone  2 mégapixels