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Nos limites (ou no limit ?)

lundi 31 octobre 2011

L'automne flamboyant

Dans le creux de Rolbec, en regardant vers St Héand, le 30 octobre 2011
Certaines brochures touristiques vantent la flamboyance des coloris des arbres du Québec, ou de la Nouvelle-Angleterre, mais avouez que chez nous en Automne, c'est pas mal non plus...

jeudi 27 octobre 2011

Le sourire de notre facteur



Que le soleil brille, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige, Jean-Pierre sillonne fidèlement les chemins  d'Eculieu  depuis quinze ans ! Et ce qui ne gâche rien, toujours avec le sourire !  Quand il ne distribue pas notre courrier ( Nous le partageons avec les hameaux de Monteux, Les Molineaux, La Porchère et La Bréassière, et n'oublions pas non plus que la journée d'un facteur commence très tôt au centre de tri où il doit préparer sa tournée) Jean-Pierre peut se  livrer à ses activités favorites : le jardinage, le vélo et la randonnée.
 ( conseil technique : on peut agrandir la photo en cliquant dessus et voir apparaître Jean-Pierre en grandeur nature, ou presque...)

mercredi 19 octobre 2011

Les poissons de Michel


Si vous passez devant la maison de Michel, Allée du Soleil, vous pouvez entendre un doux glouglou. Approchez-vous pour regarder par dessus la barrière et vous apercevrez un bassin agrémenté d’une cascade et d’un jet d’eau. Mais ce que vous ne pourrez voir, ce sont les habitants de ce bassin : une multitude de poissons rouges et de magnifiques carpes Koï.                                         

Nous savons tous que Michel est un artisan virtuose qui sait tout faire de ses dix doigts. Il a construit lui-même ce bassin qui est alimenté par un système de récupération des eaux pluviales, et équipé d’un système de filtration ainsi que d’un trop-plein. (qui a peu fonctionné cette année…) Mais ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que Michel a une passion pour les poissons ; la plupart de ses poissons rouges sont issus de son propre « élevage » ; quant à ses carpes, elles surprennent à la fois par leur taille et la beauté de leurs coloris. (en savoir plus sur les carpes Koï   ICI) Si je n’avais pas peur de paraphraser une journaliste locale très connue, je dirais qu’Eculieu regorge de trésors cachés, Il suffit de se donner la peine de les découvrir !

PS : vous avez sûrement aussi une passion ou un hobby !
Envie de partager avec la communauté du hameau ?
contactez nous : contact.eculieu@gmail.com



vendredi 14 octobre 2011

L'énigme de l'automne 2011

Vous vous souvenez peut-être de l'énigme de l'été, brillamment décryptée par nos lecteurs. (voir ou revoir ICI )
Voici aujourd'hui l'énigme de l'automne !



Multiplié par trois, j'orne la façade d'une maison du hameau.
question 1 : quel est mon nom ?
question 2 : quelle est mon utilité ?
question 3 : où est située cette maison ?

 André, tu n'es pas autorisé à participer, tu sais pourquoi.
Marc, attendez un peu avant de répondre s'il vous plaît car vous êtes trop calé !


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dimanche 9 octobre 2011

Au Texas ?... En Louisiane ??... Mais non, à Éculieu pour sûr !

Du géant, du gigantesque ! Les absents regretteront toute leur vie de n’y être point allés !
Façon Rolbec cette année, sont dignes des plus grandes fêtes en plein air. L’accueil en toute simplicité, les jeux en toute bonhomie, le partage dans son authenticité, ont procuré à tous les visiteurs un moment de bonheur campagnard interactif. Mais n’en doutons pas, ce ne fut pas un miracle, ce ne fut pas qu’un week-end pour tous les Gentils Organisateurs. Il aura fallu surement autant, sinon plus d’huile de coude, que d’huile de cuisson pour mettre en place et réussir une telle manifestation. Merci à la filière agro-alimentaire locale.
(Conseil technique : mettez le son, cliquez sur les 4 flèches en bas à droite de la vidéo pour passer en écran cinémascope, et suivez le film, ça vaut le coup... Go on !)

mercredi 5 octobre 2011

Le Pourpier en salade

C’est en Turquie que j’ai découvert cette plante, dans un saladier marqué Semitozu, sur le buffet du restaurant. J’ai demandé au chef Français si c’était bien la même chose que les mauvaises herbes que j’arrachais depuis toujours dans le jardin. « C’est du Pourpier » m’a-t-il répondu – « mais en France on n’en sert plus depuis une centaine d’année » ! Ce jour-là, j’en ai repris trois fois !!!
Le pourpier (Eculeria Portulaca oleracea) se mange cuit ou en salade. Je vous laisse le soin de le faire cuire, je vais vous donner ci-dessous une recette simple de salade crue.
Chrono : après le ramassage 10 à 15 minutes, selon que vous aurez ou non cueilli les branches avec ou sans les racines. Cette salade rustique adore mariner un bon quart d’heure dans sa vinaigrette.
Ingrédients : 3 cuillères à soupe d’huile d’olive, un petit bouquet de coriandre, 3 ou 4 gousses d’ail, 2 cuillères à soupes de vinaigre de xérès à la framboise, une cuillère à soupe de vinaigre balsamique, un yaourt aigre, sel et poivre. Pour environ 200 g de Pourpier.
Préparation : En fait il s’agit de préparer une bonne vinaigrette. La coriandre doit être finement ciselée, l’ail doit être pilé ou haché très menu, (il m’est arrivé d’utiliser de la purée d’ail du commerce, mais ce n’est pas convaincant, trop salée et pas assez goûtue).
 Le pourpier doit être rincé énergiquement dans deux ou trois eaux, avec une giclée de vinaigre d’alcool, pour bien le débarrasser des fines particules de terres attachées à son feuillage.

 Le couper en brindilles, selon les gouts, enlever les branches rouges un peu trop fermes qui résistent sous la dent.




Bien mélanger dans la vinaigrette, laisser mariner, rajouter un yaourt aigre, et servir. (Le jour de la séance photo je n’avais pas de yaourt).
En dernière minute, vous pouvez rajouter d’autre salades vertes, ou quelques tomates cerise, pour faire une variation.

Sur l'image, le magret en garniture n’est pas incontournable, un autre jour, j’y ai préféré la chaire de crabe.
Il va de soi que le jardin est bio, et pas arrosé au désherbant avant la cueillette !

lundi 3 octobre 2011

La merveilleuse randonnée de Plume et Coquette

Il y a quelque temps, je vous ai présenté Plume et Coquette, les deux ânesses de Malou et Marc.(voir ou revoir ICI)
Je ne sais si vous avez lu le  « Voyage avec un âne dans les Cévennes » de Stevenson dans lequel il relate son périple de 200 km effectué en 1878 en compagnie de son âne Modestine, mais qui n’a pas rêvé un jour d’aller de la sorte par les chemins ? Eh bien, Malou ne s’est pas contentée de rêver, elle l’a fait ! Même si son périple reste beaucoup plus modeste, elle en garde un souvenir inoubliable ainsi que les personnes qui l’accompagnaient. Par un beau matin de fin juillet, la petite troupe composée de Plume et Coquette, de Malou et son amie Denise, chacune respectivement accompagnée de leurs  deux petites-filles Ambre et Opaline, 8 et 12 ans, et Clélie et Pauline, 10 et 12 ans, quitte Eculieu par le chemin de la Tuilerie.


 On traverse alors la route pour longer le Malleval. On chemine agréablement à travers prés et bois, hameaux et lieux-dits : La Granjasse, La Bourgit, Gourny, Albinieux, où il faut traverser la route de Saint Héand en direction de Saint Bonnet-les-Oules, Nuzy, Les Flâches (de là, on découvre un magnifique panorama sur Aveizieux) Il faut alors descendre, puis  remonter pour rejoindre Aveizieux et Les Granges du Bas, où une maison amie accueille tout le monde pour la nuit.


L’étape est la bienvenue, car même si Plume et Coquette sont capables de porter des charges plus lourdes que les fillettes installées sur leur dos, elles sont habituées à une vie douillette et n’ont guère l’habitude de ce genre d’effort ! Heureusement, elles ont pu reprendre des forces en route en broutant l’herbe des prés et des fossés. Le lendemain matin, après une nuit réparatrice, on prend le chemin du retour  en suivant  le même itinéraire en sens inverse soit une distance d’environ 15 km avant de pouvoir rejoindre l’écurie.

Plume et Clélie, une histoire d'amour
PS : Même si vous n’avez pas d’âne, vous pouvez vous aussi emprunter ces chemins de campagne à l’abri du trafic et du vacarme citadin afin de faire le plein d’air pur et de beaux paysages, c’est tout près de chez nous !

en savoir plus sur Stevenson et son périple :